Alors aujourd'hui, je vous livre une recette de famille!!! C'est le gâteau au chocolat de mon enfance, qui a bercé tous mes goûters d'anniversaire et qui depuis, ne m'a jamais quitté!!! C'est une recette que ma maman nous confectionnait avec amour et qu'elle tenait d'un de ses amis chocolatiers. J'aime bien l'accompagner de crème anglaise ou bien, comme c'est le cas ici, d'une boule de glace à la vanille (recette ici). Evidemment, comme tout gâteau au chocolat qui se respecte, si vous êtes au régime, passez vite votre chemin car lire la recette est déjà un péché de gourmandises...

Pour accompagner cette déclaration d'amour au chocolat et à la douceur, rien de mieux qu'un Maury de la Coume du Roy. Selon votre puissance de chocolat, vous pourrez opter pour un Maury Tradition 2006 (fruité et assez léger) ou bien un Maury 2004 (plus corsé et puissant). Ce Vin Doux Naturel est l'allié parfait du chocolat. Jeune, c'est un concentré de fruits rouges. En vieillissant, ce vin révèle des notes de torréfaction, telles que le cacao ou le pruneau, qui sauront relever à merveille les chocolats corsés.

Pour 8 personnes :

200 g de beurre doux

200 g de chocolat corsé (60 % minimum en cacao)

200 g de sucre

100 g de farine

1/4 l de lait

5 œufs

• Préchauffez votre four à 180 °C.

• Faites fondre dans une casserole à feu doux le beurre puis ajoutez-y le chocolat en petits morceaux.

• Séparez les blancs des jaunes d'œufs.

• Mélangez les jaunes d'œufs avec 100 g de sucre (jusqu'à blanchiment), la farine et le lait.

• Montez les blancs en neige avec une pincée de sel puis ajoutez les 100 g de sucre restants, lorsqu'ils sont fermes. Continuez à battre jusqu'à ce qu'ils soient bien fermes.

• Ajoutez le mélange beurre+chocolat au mélange de jaunes d'œufs.

• Ajoutez délicatement les blancs en neige avec une spatule puis versez le mélange dans un moule à manqué de 26 cm de diamètre.

• Enfournez pour 35 minutes et laissez refroidir complètement (patience, patience,...).

Astuces : essayez de faire ce gâteau la veille, il n'en sera que meilleur. Essayez également de le conserver dans un endroit frais mais évitez le frigo ou pensez à le sortir une à deux heures avant de le dévorer.

Variante : Vous pouvez pour les anniversaires ou autre jour de fête le napper de chocolat fondu avec un peu de crème. Ca amène un côté craquant à l'extérieur délicieusement opposé au moelleux/mousseux de l'intérieur!!!

Mon Papa Noël amoureux avait un peu de retard cette année mais il m’a livré hier deux magnifiques livres : la bible de la gastronomie italienne et espagnole. Evidemment, je n’ai pas pu résister à l’envie de les feuilleter tout de suite et, bien entendu, j’ai tout de suite trouvé pleins de délicieuses petites choses à essayer, vite, vite !!! Comme les livres font chacun 1300 pages et qu’il mes les a offert à 18h30, j’ai fini de les survoler à 20h alors, se lancer dans des choses qui demandent 15 ingrédients et 2h de préparation, ça n’était pas possible mais ayant des beaux petits épinards qui m’attendaient dans le frigo, j’ai tout de même pu me lancer dans des gnocchi aux épinards ! Résultat : des gnocchi très moelleux sans être pâteux et un doux petit goût d’épinards ! Pour une première fois, je suis assez contente mais la prochaine fois, j’essaierai les dessins sur les gnocchi afin qu’ils ressemblent vraiment à des gnocchi italiens !!!

Pour accompagner ce plat, un vin blanc fruité et élevé en fûts de chêne, un rosé assez concentré ou bien un vin rouge léger pourront tous aller parfaitement ! Personnellement, j’ai choisi un Côtes du Roussillon Villages Rouge 2008 du Mas de Lavail. Ce vin composé majoritairement de Syrah et de Carignan, complétés par du Grenache Noir, est une explosion de fruits rouges au nez comme en bouche, avec de jolies petites épices fines et un toucher très soyeux. Je vous conseille de le boire assez frais afin de profiter au mieux des fruits tout en calmant un peu l’alcool.

Pour 4 personnes :

700 g d’épinards frais

800 g de pommes de terre

200 g de farine

2 jaunes légèrement battus

50 g de beurre fondu

50 g de parmesan fraîchement râpé

Sel, poivre.

• Lavez les épinards et faites-les suer 5 minutes à la poêle à feu assez vif. Egouttez-les, pressez-les et hachez-les finement.

• Cuire les pommes de terre avec leur peau dans de l’eau bouillante salée pendant une grosse vingtaine de minutes (tout dépend du genre de vos pommes de terre). Ecrasez-les dans un presse-purée tant qu’elles sont chaudes.

• Mélangez dans une terrine la purée, les épinards hachés et la farine. Salez et incorporez les jaunes d’œufs. Si à ce moment là la pâte est un peu trop molle, n’hésitez pas à ajouter un peu de farine car la consistance doit être un peu plus molle que celle d’une pâte à tarte mais vous devez pouvoir la manipuler.

• Faites avec la pâte des boudins d’1,5 cm de diamètre environ puis coupez des petits morceaux de 2 cm de longueur.

• Prenez chaque morceau découpé et roulez-les en petites boules et farinez-les. La prochaine fois, je ferai des petits dessins sur les gnocchi en les roulant sur une fourchette mais là, je n’avais vraiment pas le temps! J’en profiterai pour prendre des photos pour vous montrer les étapes.

• Faites bouillir une grande casserole d’eau salée et incorporez les gnocchi par petites quantités. Dès qu’ils remontent à la surface, enlevez-les avec une écumoire.

• Nappez de beurre fondu et d’un petit peu de parmesan et régalez-vous !

Non non, ce n’est pas un regain de spiritualité mais bien de cuisine dont il s’agit !!! Papa Noël a eu un peu de retard cette année mais m’a livré hier deux magnifiques livres de cuisine !

Alors voilà, je vous présente les deux p’tits nouveaux : La Cuillère d’Argent et 1080 Recettes de Simon et Inès Ortega, les deux aux Editions Phaidon. Le premier est LA bible de la cuisine italienne et le second celle de la gastronomie espagnole. Vous l’aurez compris, j’élargis mes horizons, même si culturellement, je pratique déjà ces deux cuisines au quotidien. Deux livres très intéressants et beaux mais ne vous attendez pas à trouver des recettes de Férian Adrian, ce sont les bibles de la gastronomie traditionnelle, pas de la nouvelle cuisine !

Pour La Cuillère d’Argent, vous trouverez pas moins de 2000 recettes toutes aussi succulentes les unes que les autres et qui m’ont déjà données pleins d’idées pour les week-ends à venir !!! C’est un beau livre avec de jolies photos qui font envie ! Je n’ai pas pu résister à la tentation et essayé tout de suite une recette : celle des gnocchis aux épinards (voir ci-dessus).

Pour les 1080 Recettes de Simon et Inès Ortega, c’est aussi un livre très réussi, avec des belles illustrations et des photos illustratives pour chaque chapitre. Bon, j’ai pas encore eu le temps de l’éplucher en profondeur parce que je m’étais fait l’intégrale de la cuisine italienne mais je suis sure que je vais trouver pleins de bonnes idées là-aussi !

Allez, je me lance, je vous donne les résultats de ma première expérience : les gnocchi aux épinards !

Pour ce post, c'est plus une astuce qu'une vraie recette. En effet, ces sucettes au parmesan sont du plus bel effet, gourmandes et excessivement simples à réaliser.

Pour 6 personnes :

75 g de parmesan rapé

6 pincées de pavot bleu (ou sésame, romarin, piment, etc...)

6 pics à brochettes

• Couvrez une plaque allant au four de papier sulfurisé et déposer 1 cuillère à soupe de parmesan que vous étalez avec le dos de la cuillère en cercles de 5-6 cm de diamètre et 2 mm d'épaisseur (bon je vous donne ça pour info mais c'est pas au millimètre près hein!). Recommancez l'opération cinq fois de plus afin de former 6 cercles.
• Déposez un pic à brochettes au centre de chaque cercle en recouvrant un peu le pic de parmesan (au niveau du cercle seulement) afin qu'il tienne bien à la sucette.
• Parsemez une pincée de pavot sur chaque sucette.
• Faites fondre au four pendant 5 min à 200°C. Surveillez la cuisson la première fois que vous le réalisez car il faut que le parmesan fonde mais ne sèche pas! Il ne faut donc pas laisser les sucettes gratiner.
• Attendez que ça refroidisse avant de décoller doucement les sucettes et de les piquer dans un verre rempli à moitié de sable de déco!

Vous allez voir, c'est bon (pour ceux qui aiment le parmesan évidemment!), c'est très vite fait et assez ludique. Essayez si vous avez le temps de faire en même temps un capuccino de cèpes par exemple : effet garanti! Entre les sucettes au parmesan et la chantilly au-dessus du velouté, vous ne saurez plus très bien si vous êtes à l'apéritif ou au dessert!

La Bodega Ochoa, c’est une exploitation vinicole de 143 hectares, nichée au cœur de la Navarre, région de Nord de l’Espagne. Cela vous semble peut être beaucoup mais il faut savoir que là-bas, c’est un des plus petits domaines ! Ce domaine familial créé en 1845 produit des vins de très haute qualité, à la fois modernes et ancrés dans la tradition.

Vous l’avez compris, ces produits sont très chers à mon cœur ! Pour tout vous dire, j’aime ce domaine parce qu’ils font des très beaux vins, souples, fruités et puissants comme on les imagine, mais aussi parce que j’y ai passé d’excellents moments ! En effet, Adriana Ochoa, l’œnologue du domaine, est une amie très proche, rencontrée pendant nos études à Toulouse. Nous y avons passé d’excellents moments mais elle m’a surtout fait découvrir la féria de Pampelune ! Ahhhh, la feria de Pampelune : parmi nos meilleurs moments de fête, à vivre au moins une fois dans sa vie, pour l’ambiance détendue, chaleureuse et festive comme nulle part ailleurs ! Elle nous a permis d’étendre nos connaissances en matière de tradition et fêtes espagnoles en nous invitant à son mariage l’été dernier : vous imaginez manger tard et des millions de plats ? Ajoutez de bons vins et une ambiance du feu de Dieu et vous y êtes !! Un vrai bon moment !

Bref, revenons-en au Tempranillo ! Ce cépage espagnol produit des beaux vins rouges, colorés, concentrés et fruités, souvent élevés en fûts de chêne. C’est le cas ici, où il donne le meilleur de son potentiel sur ce terroir de Calcaire de Marne.

Ce Tempranillo 2005 est d’une belle couleur rouge rubis profond.

Au nez, c’est une explosion de petits fruits rouges, soulignés par de petites épices tel que le poivre et la cannelle et doucement mis en valeur par des odeurs de torréfaction, grâce à son élevage en bois très fondu et flatteur.

En bouche, les tanins sont fins et soyeux, la bouche ample et la gamme aromatique très étendue, dans la lignée du nez.

Nous nous sommes régalés avec ce vin parfaitement adapté à des grillades (hummm, la côte de bœuf à la Cidreria de Pampelune ! Oups, pardon, je m’égare encore !), mais aussi aux viandes blanches plus délicates tel que le veau ou le poulet rôti. Un peu plus frais, il accompagnera également des plats de légumes tels que le tian ou l’escalivade.

Prix de vente : 13 €, hors frais de port.

Vous voulez goûter ce vin, contactez-moi sur : amandine.montagne@yahoo.fr

Le hachis Parmentier, c’est un grand classique à la maison mais jamais la recette originale ! En fait, c’est le moyen de terminer les rôtis et autres volailles cuites. Ce jour-là, c’est un reste de côtes de veau cuites au four et recouvertes d’épinards et de mozzarella. C’est certainement un de mes prochains posts car c’est une recette dont on ne se lasse pas : le moelleux du veau, le gouteux de l’épinard et le filant de la mozzarella : humm, que c’est bon ! Bref, aujourd’hui ce n’est pas cette recette qui nous concerne, mais celle qui consiste à utiliser les restes car, une fois encore, j’ai été plus que généreuse dans les portions ! Alors c’est parti pour une recette spéciale « restes du frigo », que vous pouvez adapter à toutes vos viandes rôties.

Pour accompagner ce plat, nous avons ouvert une bouteille de Crianza Tempranillo 2005 du domaine Ochoa. Ce vin fruité, gourmand et doucement épicé est une merveille et accompagne parfaitement le veau qui demande un vin rouge tout à la fois frais, fruité et complexe. Je vous le recommande chaudement, un beau vin espagnol, un des meilleurs de ce terroir de Navarre encore méconnu en France !

Hachis Parmentier revisité :

Pour 2 personnes.

250 g de veau cuit

1 oignon

1 gousse d’ail

Légumes : ça peut être 2 carottes, quelques champignons de Paris ou bien comme moi ici, des épinards

1 cuillère à soupe de persil ciselé

2 cuillères à soupe de crème fraiche semi-épaisse légère

5 pommes de terre moyennes

20 cl de lait

10 g de beurre salé

1 poignée de fromage râpé

2 cuillères à soupe de parmesan

Il faut savoir que cette recette n’est pas restrictive, elle est inventive ! Prenez ce que vous avez sous la main et mélangez-le avec votre hachis de viande !

Première étape : faites votre purée. Pour cela, épluchez vos pommes de terre, mettez-les dans une casserole, recouvrez vos pommes de terre d’eau froide, salez bien au gros sel et faites cuire une vingtaine de minutes après ébullition. Le temps de cuisson peut varier selon votre espèce de patate ; elles sont cuites lorsque vous pouvez enfoncer facilement un couteau pointu. Une fois cuites, égouttez-les et remettez-les dans la casserole. Ecrasez les pommes de terre grossièrement à la fourchette puis mettez la casserole à feu doux. Ajoutez progressivement le lait en mélangeant bien à la cuillère en bois. N’ajoutez pas tout le lait d’un coup, car là aussi, selon votre espèce de patate, il en faudra plus ou moins. Une fois que vous avez obtenu la texture souhaitée (pour cette recette, comme elle passe au four, la purée doit être ni trop ferme, ni trop liquide), ajustez l’assaisonnement avec du sel et du poivre puis ajoutez le beurre. Mélangez bien et éteignez le feu sous la casserole.

Deuxième étape : faites votre hachis. Pour cela, épluchez et hachez l’oignon. Faites-le revenir doucement dans une poêle avec un peu d’huile d’olive. Si vous utilisez des légumes crus (carottes ou champignons par exemple), ajoutez-les à ce moment-là, coupés en petits morceaux. Hachez votre viande cuite (moi je me sers de mon petit hachoir à ail et persil, ça fonctionne bien). S’il reste quelques morceaux, ce n’en sera que meilleur. Ajoutez alors votre hachis aux légumes ainsi que l’ail haché et le persil. Faites revenir une dizaine de minutes à feu doux puis ajoutez la crème fraiche. Laissez de nouveau mijoter 5 minutes.

Troisième étape : dressez votre plat. Mettez une couche de hachis puis recouvrez de purée. Ajoutez ensuite le fromage râpé puis le parmesan et passez votre plat une dizaine de minutes au four à 200°C.

Et voilà un bon p’tit plat qui fait du neuf avec du vieux !

Alors ce soir là, j’avais envie de soupe, comme très souvent l’hiver, mais je commençais à me laisser un peu de ma spéciale « je mets tous les légumes que je trouve dans le frigo » !!! Du coup, j’ai fait une sélection un peu plus fine et je n’ai mis que des poireaux, des pommes de terre et de l’ail. Comme je sers de la soupe au moins trois soirs par semaine à mon homme, il faut varier les plaisirs et surtout trouver un petit accompagnement pour la rendre plus festive. Là, on revenait de Paris, où on avait passé un super bon moment avec ma copine Nellie (que vous risquez de retrouver régulièrement dans mes messages !) et son chéri, et elle nous avait préparé ces jolis et délicieux triangles pour l’apéro. Et voilà, mon repas était fait ! C’est un bon petit repas du soir, équilibré et ,autre avantage non négligeable, rapide !!!

Vous aurez compris que le but premier de ce type de repas est de manger assez sain alors le vin n’est pas forcément le bienvenu ! Si malgré tout, vous avez envie d’un petit verre, je vous conseille d’avoir chez vous un Bag In Box (appelé BIB), c’est-à-dire un cubi de 5 litres rempli sous vide d’air (donc qui se conserve au moins un mois après ouverture) et ainsi de vous faire plaisir au quotidien sans nécessairement avoir à ouvrir une bouteille de vin à chaque fois. Aujourd’hui, la majorité des vignerons font de très bons vins dans ce genre de contenants et vous pouvez ainsi vous faire plaisir à moindre frais. Personnellement, j’ai deux fournisseurs attitrés (liés à mon expérience professionnelle puisque j’ai travaillé dans ces deux domaines) : le Château de Rey (Côtes du Roussillon) et le domaine de la Coume du Roy (Vin de Pays des Côtes Catalanes).

Soupe poireaux/pommes de terre :

Pour 1 litre de soupe (plus ou moins).

4 poireaux moyens

2 pommes de terre moyennes

2 gousses d’ail.

• Epluchez et lavez les poireaux (en gardant une partie du vert). Coupez-les en tronçons assez gros.

• Epluchez et coupez les pommes de terre en morceaux assez gros.

• Epluchez et ajoutez les gousses d’ail dans la cocotte minute avec les pommes de terre et les poireaux. Couvrez d’eau les légumes (si vous souhaitez garder un peu de bouillon, remplissez un peu plus la cocotte afin de récupérer le surplus de liquide) et salez au gros sel (une cuillère à café à peu près).

• Laissez monter la pression dans la cocotte puis laissez cuire 15 minutes une fois qu’elle chuchote.

• Mixez finement au mixeur plongeant et ajoutez une cuillère à café de crème fraiche légère avant de déguster. Pour la texture de la soupe, moi j’enlève le bouillon jusqu’à bien voir les légumes, je mixe et puis je rajoute le bouillon pour obtenir la texture que je désire.

Triangles ricotta/ciboulette :

Pour 6 triangles

3 feuilles de Brick

125 g de ricotta

1 cuillère à soupe de ciboulette

2 pincées de sel fin, poivre

1 cuillère à soupe d’huile d’olive + 2 autres pour les triangles

• Mélangez tous les ingrédients de la farce (ricotta, ciboulette, sel, poivre et huile d’olive).

• Coupez une feuille de brick en deux et passez un peu d’eau au pinceau de cuisine sur l’ensemble de la surface qui vous fait face. Repliez cette demi-feuille de brick en deux et posez une petite cuillère à soupe de farce dans le coin gauche de votre bande de brick (ne le coller pas dans la partie arrondie mais juste après). Pliez votre bande en triangle (si vous ne savez pas le faire, regardez sur le paquet de brick, la méthode est généralement expliquée). Reproduisez cela pour les autres triangles.

• Une fois que tous vos triangles sont effectués, badigeonnez au pinceau les deux faces de chaque triangle avec de l’huile d’olive. Posez-les sur une plaque de cuisson et faites cuire 10 minutes à 200°C.

Et voilà, c’est prêt, c’est vite fait et c’est bon !

Bon, le Château de Rey, c'est un peu le coin rêvé de tout catalan normalement constitué! Imaginez un mas en cayroux (sorte de mélange de pierres apparentes et de briques) planté au milieu des vignes, avec vue sur les étangs de Canet et la mer d'un côté et sur le Canigou de l'autre!!! Peut être que j'y suis particulièrement attachée au vue de mon histoire avec ce lieu puisque c'est le premier endoit dans lequel j'ai vécu avec mon homme, le premier endroit où j'ai vécu dans les PO (Pyrénées Orientales) et le premier endroit où j'ai travaillé! Ca fait beaucoup de premières fois mais je vous jure que c'est un endroit de rêve!

Alors, qu'attendre des vignerons qui ont la chance d'habiter à cet endroit? Des vins festifs et joyeux, ok : la gamme des Oh! Des vins authentiques, qui fleurent bon le terroir, ok : la gamme des Sisquo! Des vins nobles, racés, savoureux, qui nous font partager l'exception du lieu : ok, la gamme des Galets Roulés! Des vins gourmands et spéciaux, ok : la gamme des vins doux!!!

Comme vous l'aurez compris, vous retrouverez souvent les vins de Philippe et Cathy Sisqueille, les heureux vignerons, au cours de mes posts.

Aujourd"hui, c'est le tour de leur dernier-né : les Galets Roulés Rosé. Dans la lignée du reste de la gamme des Galets Roulés, ce Rosé est un rosé gastronomique, charpenté et complexe! Et oui, tout est dit; celui-ci n'est pas un rosé de soif mais bien un rosé de table!

D'ailleurs, la couleur annonce...la couleur! La robe est d'un beau rose profond et soutenu.

Le nez est bien celui d'un rosé : du fruits, de la fraîcheur et de la minéralité!

La bouche est par contre très surprenante : à l'aveugle, je défie quiconque de trouver l'ensemble des informations : cépages, élevage et vinification! C'est une bouche harmonieuse avec des fruits et des épices pour obtenir un vin long et suave! Les notes de boisé en fin de bouche dinissent agréblement ce développement aromatique.

Bref, un vin surprenant, très agréable : à goûter avec des personnes curieuses et connaisseuses!

Prix de vente : 13 euros; hors frais de port.

Vous voulez goûter ce vin : contactez-moi sur : amandine.montagne@yahoo.fr.

Bon, le Château de Rey, c'est un peu le coin rêvé de tout catalan normalement constitué! Imaginez un mas en cayroux (sorte de mélange de pierres apparentes et de briques) planté au milieu des vignes, avec vue sur les étangs de Canet et la mer d'un côté et sur le Canigou de l'autre!!! Peut être que j'y suis particulièrement attachée au vue de mon histoire avec ce lieu puisque c'est le premier endoit dans lequel j'ai vécu avec mon homme, le premier endroit où j'ai vécu dans les PO (Pyrénées Orientales) et le premier endroit où j'ai travaillé! Ca fait beaucoup de premières fois mais je vous jure que c'est un endroit de rêve!

Alors, qu'attendre des vignerons qui ont la chance d'habiter à cet endroit? Des vins festifs et joyeux, ok : la gamme des Oh! Des vins authentiques, qui fleurent bon le terroir, ok : la gamme des Sisquo! Des vins nobles, racés, savoureux, qui nous font partager l'exception du lieu : ok, la gamme des Galets Roulés! Des vins gourmands et spéciaux, ok : la gamme des vins doux!!!

Comme vous l'aurez compris, vous retrouverez souvent les vins de Philippe et Cathy Sisqueille, les heureux vignerons, au cours de mes posts.

Aujourd'hui, je vous parle de leur Oh de Rosé, un rosé de soif, de fêtes, de tonnelle, bref : de copains et d'été!

Ce rosé à base de Grenache Noir majoritairement, complété astucieusement par de la Syrah, est d'une belle couleur rose clair, reflets pelure d'oignons.

Le nez est joyeux : c'est vrai, c'est un terme que l'on emploie guère pour le vin mais ici, il n'y a que ça qui me vient à l'esprit! Des petits fruits rouges, des herbes faîches, des notes d'agrumes : que de la fraîcheur!

La bouche prolonge parfaitement le nez: elle est légère, fruitée et croquante!

Bref, un beau rosé, à partager de toute urgence avec des amis autour de grillades ou d'une bonne escalivade!

Prix de vente : 5,50 euros, hors frais de port.

Vous voulez goûter ce vin, contactez-moi sur : amandine.montagne@yahoo.fr

Encore une trouvaille des salons des Vignerons Indépendants! Et encore des vignerons géniaux, accueillants, généreux, bref tels qu'on peut les imaginer (ce qui n'est pas toujours le cas durant ces salons, ô combien épuisants)!

Le chablis, c'est aussi une histoire de famille, comme le champagne. Ca fait partie des vins que j'ai gouté depuis toute petite, et oui, j'ai eu beaucoup de chances, ce qui explique peut être mon choix professionnel! Cette fois, c'est mon Papou (mon grand-père) qui m'a éduquée pour le Chablis. Il me ramène souvent une bouteille de Montée de Tonnerre, sa maison de campagne étant tout à côté de ce village béni. Alors, lorsque j'ai eu l'occasion de faire des comparaisons, j'ai gouté les différents Chablis que j'ai rencontré. Et après de nombreux vignerons, très bons mais classiques, je suis tombée sur ce stand de jeunes vignerons où l'ambiance était conviviale et les vins excellents. C'est d'ailleurs ici que j'ai gouté pour la première fois un Chablis Grand Cru et ça a été une vraie découverte : autant de complexité et de puissance dans un vin blanc, j'y croyais à peine!

Mais le reste de la gamme est merveilleuse aussi. Nous dégustons d'ailleurs souvent leur Petit Chablis, qui est un excellent rapport qualité-prix.

Ce vin blanc minéral et fleuri est bien équilibré. Le 2009 est fidèle à ses prédecesseurs, même si l'acidité est un peu plus mordante, ce qui n'est pas pour me gêner puisque c'est ce que j'attends des vins blancs en général, et du Chablis en particulier. L'élevage a été allongé pour gagner en compexité et en rondeur.

Ce Petit Chablis est donc parfait pour  tous les plats de viandes blanches, plats en sauce à base de viande (tel que la blanquette par exemple) ou même en apéritif.

Prix de vente : 10 euros, hors frais de transport.

Vous voulez goûter ce vin, contactez-moi sur : amandine.montagne@yahoo.fr.